philo plan de cour
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philo plan de cour
il semble que Jérémy tout ton cour soit mélanger !! pas de panique je suis la!
Voila le plan des 3 chapitres :
LA CONSCIENCE
I. LA VALEUR DE LA CONSCIENCE
a) Du point de vue moral
Texte de Pascal sur la connaissance de soi.
b) La conscience de soi, fondement de toute la connaissance ?
Résumé des Méditations métaphysiques. Enjeu du débat sur l'ordre d'acquisition des connaissances.
II. LA CONSCIENCE DE SOI : POINT DE DEPART OU RESULTAT ?
a) La conscience de soi présuppose la perception et l'apprentissage d'un langage
résumé des arguments de St Thomas et de ses distinctions. Il distingue en particulier la connaître son existence et connaître sa nature (ce qu'on est).
b) Rationalisme et fiabilisme
Distinction entre deux approches et deux représentations de l'ordre d'acquisition des connaissances (ordre chronologique de cette acquisition, et la reconstruction a posteriori en fonction de l'ordre des évidences). Descartes et Thomas Reid (empiriste, fiabiliste et faillibiliste).
c) La conscience et l'intersubjectivité
dans un texte de fiction : Tournier, vendredi ou les limbes du pacifiques.
III. LA CONSCIENCE EST-ELLE UNE SPECIFICITE DE L'HOMME ?
a) Que dit la science sur ce point ?
Texte relatant une expérience d'éthologie (de Gallup, avec des chimpanzés et des enfants).
b) La connaissance pratique
lien entre la connaissance pratique et la faculté d'avoir des désirs de second niveau et une connaissance de soi de n-ième niveau.
IV. LA CONSCIENCE ET L'IDENTITE PERSONNELLE
Texte de Pascal ("Qu'est-ce que le moi ?").
Réflexion sur l'identité personnelle avec Locke, Leibniz, etc.
- Cours sur la méthode de la dissertation. Fiche de consignes, et illustration des consignes au tableau (analyse du sujet).
- début du cours sur le vivant.
LE VIVANT
I. QU' EST-CE QUE LA VIE ?
a) L'âme, la vie et les facultés
Description de la biologie vitaliste d'Aristote : les facultés sont connues ou postulées à partir du comportement observable des êtres vivants. L'âme est postulée à partir de ces facultés, comme fondement de ces facultés : Aristote et les anciens admettent l'existence d'un principe vital qui anime (de "anima" : l'âme) l'être vivant, et lui permettent donc de croître, de respirer, de se reproduire, et de se nourrir. il y a différentes sortes d'âmes, de l'âme végétative à l'âme spirituelle ou esprit. Plus un être est autonome, plus haut il se trouve dans la hiérarchie des formes de vie.
b) L'animal est-il une machine ?
Texte de Descartes. Questions sur le texte.
II. LA CRITIQUE DU MECANISME
recherche de critères de distinction entre les êtres vivants et les machines (critères notés au tableau).
a) La perception
Texte de la Monadologie
b) La force formatrice du vivant
Texte de Kant
III. COMMENT CONNAITRE LE VIVANT ?
a) Le vivant échappe-t-il aux lois physiques ?
réductionnistes et antiréductionnistes. La notion d'émergence. Lois physiques et lois du vivant.
b) Une causalité complexe
caractérisée par des interactions ou relations d'interdépendance à tous les niveaux.
c) Point de vue du tout et point de vue des parties
cette complexité et l'interdépendance du tout et des parties rendent impossibles ou très difficiles les tentatives de réduction mécaniste. Il faut donc étudier l'être vivant en se plaçant à la fois à tous les points de vue et à toutes les échelles.
d) Difficulté pour l'expérimentation en biologie.
Texte de Jacquard : ces interactions multiples font qu'il est difficile d'isoler un facteur pour l'étudier séparément (pour voir dans quelle mesure et comment il influe sur le phénomène étudié).
IV. L' EVOLUTION BIOLOGIQUE
a) Adaptation active et sélection naturelle
Différence entre l'idée de Lamarck (puis de Spencer), et l'idée de Darwin (sélection naturelle liée au fait que la pression du milieu extérieur fait périr les individus les moins adaptés, les empêchant de se reproduire à long terme). Tous les deux pensent que l'évolution est progressive, lente, et insensible entre deux générations immédiatement successives.
b) Conséquences du point de vue religieux
Le christianisme a toujous admis que l'Ecriture avait plusieurs sens superposés. Donc Darwin aurait pu renoncer au sens littéral (comme Galilée), ce qu'il n'a pas fait. Actuellement : la thèse créationniste a presque disparu. En revanche, certains pensent que l'évolution a été dirigée et facilitée par Dieu en vue d'aboutir à la production d'êtres intelligents.
c) L'idée d'évolution graduelle et ses limites
Arguments de William Paley et de Michael Denton. Conséquence : il doit y avoir des changements brusques dans l'évolution ?
d) Difficultés relatives à l'idée de macroévolution
le problème des chaînons manquants (et de l'isolement des grandes catégories de la classification biologique) et l'énigme de l'origine de la vie.
LA VERITE ET LA DEMONSTRATION
I. LA PHILOSOPHIE, RECHERCHE DE LA VERITE
a) Origines de la philosophie
b) Situation actuelle de la philosophie
Texte de Comte sur la division du savoir en spécialités. Pb : la philosophie s'est-elle fait voler tous se objets d'étude ? Se réduit-elle maintenant à un point de vue spécifique, généraliste ?
c) Comment chercher la vérité ? L'analyse en science et en philosophie.
II. LA DEFINITION DE LA VERITE
a) La vérité-cohérence ou vérité formelle
b) Les vérités de fait
III. LES CRITERES DE LA VERITE
a) L'évidence, critère de la vérité ?
Discussion sur le critère cartésien.
Texte de Tocqueville sur l'attitude cartésienne des hommes dans les sociétés d'égalité. Ils n'ont ni le temps ni les capacités de faire ce qu'ils prétendent faire : chercher la vérité en s'appuyant seulement sur ses propres lumières. Conséquences sociales de cette attitude : individualisme et (paradoxalement) influence de l'opinion de la majorité.
b) Les critères de la connaissance
Pluralité des critères (ils changent selon les domaines, en fonction des types d'informations disponibles). Distinction des différentes formes de connaissances (Russell).
IV. LES CRITERES DE LA CONNAISSANCE NON-DEMONSTRATIVE
a) Le principe de crédulité (Thomas Reid)
b) Le principe de simplicité (utilisé dans les inférences à la meilleure explication)
c) Le principe de charité (utilisé dans l'interprétation des propos et des actions d'autrui)
d) La méthode expérimentale et ses limites
deux exemples : chez Claude Bernard et chez Thomas Young (exp. prouvant que la lumière se constitue d'ondes).
Merci au cahier de texte en ligne !
Voila le plan des 3 chapitres :
LA CONSCIENCE
I. LA VALEUR DE LA CONSCIENCE
a) Du point de vue moral
Texte de Pascal sur la connaissance de soi.
b) La conscience de soi, fondement de toute la connaissance ?
Résumé des Méditations métaphysiques. Enjeu du débat sur l'ordre d'acquisition des connaissances.
II. LA CONSCIENCE DE SOI : POINT DE DEPART OU RESULTAT ?
a) La conscience de soi présuppose la perception et l'apprentissage d'un langage
résumé des arguments de St Thomas et de ses distinctions. Il distingue en particulier la connaître son existence et connaître sa nature (ce qu'on est).
b) Rationalisme et fiabilisme
Distinction entre deux approches et deux représentations de l'ordre d'acquisition des connaissances (ordre chronologique de cette acquisition, et la reconstruction a posteriori en fonction de l'ordre des évidences). Descartes et Thomas Reid (empiriste, fiabiliste et faillibiliste).
c) La conscience et l'intersubjectivité
dans un texte de fiction : Tournier, vendredi ou les limbes du pacifiques.
III. LA CONSCIENCE EST-ELLE UNE SPECIFICITE DE L'HOMME ?
a) Que dit la science sur ce point ?
Texte relatant une expérience d'éthologie (de Gallup, avec des chimpanzés et des enfants).
b) La connaissance pratique
lien entre la connaissance pratique et la faculté d'avoir des désirs de second niveau et une connaissance de soi de n-ième niveau.
IV. LA CONSCIENCE ET L'IDENTITE PERSONNELLE
Texte de Pascal ("Qu'est-ce que le moi ?").
Réflexion sur l'identité personnelle avec Locke, Leibniz, etc.
- Cours sur la méthode de la dissertation. Fiche de consignes, et illustration des consignes au tableau (analyse du sujet).
- début du cours sur le vivant.
LE VIVANT
I. QU' EST-CE QUE LA VIE ?
a) L'âme, la vie et les facultés
Description de la biologie vitaliste d'Aristote : les facultés sont connues ou postulées à partir du comportement observable des êtres vivants. L'âme est postulée à partir de ces facultés, comme fondement de ces facultés : Aristote et les anciens admettent l'existence d'un principe vital qui anime (de "anima" : l'âme) l'être vivant, et lui permettent donc de croître, de respirer, de se reproduire, et de se nourrir. il y a différentes sortes d'âmes, de l'âme végétative à l'âme spirituelle ou esprit. Plus un être est autonome, plus haut il se trouve dans la hiérarchie des formes de vie.
b) L'animal est-il une machine ?
Texte de Descartes. Questions sur le texte.
II. LA CRITIQUE DU MECANISME
recherche de critères de distinction entre les êtres vivants et les machines (critères notés au tableau).
a) La perception
Texte de la Monadologie
b) La force formatrice du vivant
Texte de Kant
III. COMMENT CONNAITRE LE VIVANT ?
a) Le vivant échappe-t-il aux lois physiques ?
réductionnistes et antiréductionnistes. La notion d'émergence. Lois physiques et lois du vivant.
b) Une causalité complexe
caractérisée par des interactions ou relations d'interdépendance à tous les niveaux.
c) Point de vue du tout et point de vue des parties
cette complexité et l'interdépendance du tout et des parties rendent impossibles ou très difficiles les tentatives de réduction mécaniste. Il faut donc étudier l'être vivant en se plaçant à la fois à tous les points de vue et à toutes les échelles.
d) Difficulté pour l'expérimentation en biologie.
Texte de Jacquard : ces interactions multiples font qu'il est difficile d'isoler un facteur pour l'étudier séparément (pour voir dans quelle mesure et comment il influe sur le phénomène étudié).
IV. L' EVOLUTION BIOLOGIQUE
a) Adaptation active et sélection naturelle
Différence entre l'idée de Lamarck (puis de Spencer), et l'idée de Darwin (sélection naturelle liée au fait que la pression du milieu extérieur fait périr les individus les moins adaptés, les empêchant de se reproduire à long terme). Tous les deux pensent que l'évolution est progressive, lente, et insensible entre deux générations immédiatement successives.
b) Conséquences du point de vue religieux
Le christianisme a toujous admis que l'Ecriture avait plusieurs sens superposés. Donc Darwin aurait pu renoncer au sens littéral (comme Galilée), ce qu'il n'a pas fait. Actuellement : la thèse créationniste a presque disparu. En revanche, certains pensent que l'évolution a été dirigée et facilitée par Dieu en vue d'aboutir à la production d'êtres intelligents.
c) L'idée d'évolution graduelle et ses limites
Arguments de William Paley et de Michael Denton. Conséquence : il doit y avoir des changements brusques dans l'évolution ?
d) Difficultés relatives à l'idée de macroévolution
le problème des chaînons manquants (et de l'isolement des grandes catégories de la classification biologique) et l'énigme de l'origine de la vie.
LA VERITE ET LA DEMONSTRATION
I. LA PHILOSOPHIE, RECHERCHE DE LA VERITE
a) Origines de la philosophie
b) Situation actuelle de la philosophie
Texte de Comte sur la division du savoir en spécialités. Pb : la philosophie s'est-elle fait voler tous se objets d'étude ? Se réduit-elle maintenant à un point de vue spécifique, généraliste ?
c) Comment chercher la vérité ? L'analyse en science et en philosophie.
II. LA DEFINITION DE LA VERITE
a) La vérité-cohérence ou vérité formelle
b) Les vérités de fait
III. LES CRITERES DE LA VERITE
a) L'évidence, critère de la vérité ?
Discussion sur le critère cartésien.
Texte de Tocqueville sur l'attitude cartésienne des hommes dans les sociétés d'égalité. Ils n'ont ni le temps ni les capacités de faire ce qu'ils prétendent faire : chercher la vérité en s'appuyant seulement sur ses propres lumières. Conséquences sociales de cette attitude : individualisme et (paradoxalement) influence de l'opinion de la majorité.
b) Les critères de la connaissance
Pluralité des critères (ils changent selon les domaines, en fonction des types d'informations disponibles). Distinction des différentes formes de connaissances (Russell).
IV. LES CRITERES DE LA CONNAISSANCE NON-DEMONSTRATIVE
a) Le principe de crédulité (Thomas Reid)
b) Le principe de simplicité (utilisé dans les inférences à la meilleure explication)
c) Le principe de charité (utilisé dans l'interprétation des propos et des actions d'autrui)
d) La méthode expérimentale et ses limites
deux exemples : chez Claude Bernard et chez Thomas Young (exp. prouvant que la lumière se constitue d'ondes).
Merci au cahier de texte en ligne !
Re: philo plan de cour
Si seulement mon cours était aussi structuré
c'était le commentaire inutile du jour de
bobo
c'était le commentaire inutile du jour de
bobo
Dadid- Grand Comique
- Nombre de messages : 202
Age : 32
Localisation : DTC ? =)
Humeur : Strictement monotone
Date d'inscription : 24/09/2008
Re: philo plan de cour
o0
pourquoi mon cours ressemble pas du tout a ça ? :p
pourquoi mon cours ressemble pas du tout a ça ? :p
F4tL- Geek Warlock
- Nombre de messages : 160
Age : 32
Localisation : dans le postérieur d'autrui
Humeur : tu meurs.
Date d'inscription : 02/10/2008
Re: philo plan de cour
Ah merci bien
Djay
Djay
Djay- Geek
- Nombre de messages : 547
Age : 32
Localisation : Le fond des bois
Humeur : Joyeuse §
Date d'inscription : 23/09/2008
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